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RCA: point de situation

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Un hélicoptère Puma en RCA (Crédits: ECPAD/Ministère Défense)

Un hélicoptère Puma en RCA
(Crédits: ECPAD/Ministère Défense)


L’effectif de l’opération Sangaris a aujourd’hui atteint 1600 militaires.
La montée en puissance de la force se poursuit avec l’arrivée par Antonov d’un détachement de deux hélicoptères Fennec de l’armée de l’Air en provenance des bases d’Orange et de Villacoublay.
En dehors de la capitale, l’escadron d’aide à l’engagement (EAE) sur VAB et VBL, qui avait été acheminé par le BPC Dixmude à Douala, est arrivé avant hier soir à Bossembele.
Hier, un détachement d’une centaine de militaires en provenance de Bangui a réalisé vers le nord, une reconnaissance jusqu’à la ville de Bossangoa, dans laquelle il est entré dans la nuit du 7 décembre, selon l’État Major des Armées (EMA)
L’axe Bouar / Bossembele a été ouvert, sans que la force ne soit freinée par aucune résistance.
En parallèle, les vols de Rafales se poursuivent au dessus de Bangui et de Bossangoa
 
« Au fur et à mesure de leur progression, les militaires français n’ont rencontré aucune résistance. Ils ont rapidement constaté que les groupes armés avaient quitté leurs positions. Quelques contrevenants aux mesures de sécurité ont été appréhendés, leurs armes leur ont été confisquées. Au cours de la journée, aucun élément n’a opposé de résistance à la force Sangaris. Seuls des tirs fugaces ont été observés. A chaque fois, la riposte des militaires français a fait cesser les tirs. » indique l’Etat Major des Armées
Reste que « si un calme relatif semble s’imposer, la situation sécuritaire reste tendue. Les milices manifestent par ailleurs une tension de plus en plus palpable à l’approche des troupes françaises. » précise l’EMA

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